La Maison Bacou, un peu d’histoire

La Maison Bacou

Vous êtes en quête de calme, de charme et de confort ? Notre Maison , idéalement située au pied de la Cité médiévale vous accueille dans le quartier préféré des voyageurs visitant Carcassonne, 
Ici, nous avons pensé à chaque détail afin de vous offrir un séjour de charme. L’entrée de la maison, située à 50 mètres des remparts est discrète. Franchissez la porte et optez, soit pour le salon accueillant dans une verrière , soit pour un patio avec une vue imprenable sur la cite médiévale est un bassin pour se détendre.

Bienvenue chez jean BACOU J’ai le plaisir de vous accueillir chez moi, dans une maison chargée d’histoire, maison familiale que j’ai rachetée , il y a maintenant deux ans afin de réaliser ce projet . A quelques mètres des remparts, avec une vue imprenable , cette maison d’hôtes  calme et confortable a été pensée dans les moindres détails afin de vous assurer un séjour formidable .

Idéalement située au pied de la Cité Médiévale, en plein cœur de La Trivalle, quartier central de Carcassonne entre Cité Médiévale et Bastide Saint Louis, La Maison Bacou appartient à notre famille depuis plus de 5 générations.

Comme dans toutes les familles sauf quelques rares exceptions , elle a fait l’objet de querelles familiales initiées par différentes successions. Mon grand-père Jean Bacou au prix de grands efforts, a mis un point d’honneur à racheter à l’époque les parts de cette bâtisse qui échappaient alors à sa propriété.

Voilà en 2 mots pourquoi il me tient à cœur de valoriser aujourd’hui ce magnifique patrimoine familial comme l’ont fait avant moi mon père Georges et mon oncle Pierre anciens propriétaires, qui ont certes hérité de ce bien mais également de la mission morale donnée par leur père de toujours faire en sorte de préserver et de garder précieusement ce patrimoine. Je ferai en sorte de ne pas les décevoir !!

Jean Bacou

Un peu d'histoire

Pilar Bacou née LUCENA ,le 3 février 1932 à Cordoue en la Tour de la Calahorra porte fortifiée édifiée durant la deuxième moitié du XIIe siècle par les Almohades pour protéger le pont romain de Cordoue et où son père Francisco Lucena haut gradé de la Guardia Civil était en poste. Après avoir survécu aux affres de La Retirada Espagnole de 1939, exode de quelques 450000 réfugiés de la guerre civile espagnole qui franchirent la frontière franco-espagnole à l’issue de la guerre civile et qui voit la victoire des nationalistes du général Franco et la chute de la Seconde République espagnole, Pilar BACOU et ses parents s’installeront quelques années plus tard et après maintes péripéties, à Carcassonne où elle rencontrera et épousera Jean BACOU fils de Georges BACOU et Julie FERRIER. Très appréciée de ses contemporains, véritable figure « de la Trivalle » et attachée à son quartier, elle était parmi les bénévoles les plus actives de la Ligue contre le cancer et rendait visite régulièrement à de nombreux malades. Une femme de dévouement. Elle s’en est allée le 24/07/2011 à l’âge de 79 ans.

Georges BACOU né le 19-02-1961, diplômé d’une Ecole de Commerce et dégagé de ses obligations militaires il intègrera le staff du Festival de Carcassonne des 1984.Il sera ensuite très rapidement nommé Directeur de la salle polyvalente du Dôme à Carcassonne tout en continuant ses fonctions au Festival. Il en deviendra le Directeur de 1996 à 2005. Il est aujourd’hui et depuis 2012 directeur du théâtre Jean-Alary de Carcassonne.

Pierre BACOU né le 16-06-1966  reprit  l’affaire familiale des Transports en Vins BACOU de 1998 à 2007.Il s’installera ensuite à Saint Martin (Antilles Françaises) et sera coassocié de la société SAINT PIERRE Commerce de Gros en Produits de Bouche. Il décèdera le 9 août 2018 à l’âge de 52 ans.

JULIE BACOU, née Ferrier le 19-12-1904, femme au foyer, est la mère de Jean BACOU Senior et la grand-mère de Jean BACOU actuel propriétaire de la Maison BACOU. Elle décèdera le 12.06.1993 à Carcassonne.

JEAN BACOU (Sénior), né le 2-11-1936 à Carcassonne,reprit  dès son retour de la guerre d’Algerie, l’affaire familiale des transports BACOU géré alors par son père. Insatiable « travailleur », doté d’une volonté hors normes,  il fera prospérer son entreprise jusqu’à la reprise par son fils cadet Pierre BACOU.
Passionné de mécanique et reconnu par ses pairs comme étant un As du volant,il aura les honneurs de la presse spécialisée  pour avoir parcouru un million de kilomètres  au volant de son camion Berliet sans avoir eu une seule panne !! Il décèdera à Carcassonne des suites d’une longue maladie le 29-01-2009.

L'entreprise de transports Bacou à la Trivalle

Jean Joseph Georges Bacou (1837-1893) .

La famille Bacou est sans doute aujourd’hui l’une des plus anciennes encore présentes dans le quartier de la Trivalle. Jean Joseph Bacou, propriétaire originaire de Puichéric s’était marié avec Jeanne Leguevacques à Capendu, au moment où il logeait dans cette commune chez son oncle Jean. 
De cette union, naîtront plusieurs enfants dont Jean Baptiste le 14 novembre 1814, père de Jean Joseph Georges (26 avril 1837 à Palaja – 1893) fondateur de l’entreprise de roulage.
Le 3 juin 1863, lors de son mariage avec Marie Baux, la fille d’un limonadier, Jean Joseph réside au n°47 de la rue Trivalle. C’est  à l’actuel n°58, que va être créée l’entreprise de roulage avec les écuries au rez-de-chaussée.

De cette union, naîtront plusieurs enfants dont Jean Baptiste le 14 novembre 1814, père de Jean Joseph Georges (26 avril 1837 à Palaja – 1893) fondateur de l’entreprise de roulage.

Le 3 juin 1863, lors de son mariage avec Marie Baux, la fille d’un limonadier, Jean Joseph réside au n°47 de la rue Trivalle. C’est  à l’actuel n°58, que va être créée l’entreprise de roulage avec les écuries au rez-de-chaussée.

Le Chapeau rouge, à gauche

Après avoir développé l’affaire de son père, Jean Baptiste Bacou (1864-1924) acheta en 1919 l’ancien relais de poste « Le chapeau rouge ». Les Carcassonnais ont connu cet endroit ensuite comme cinéma puis maintenant, comme salle de spectacle. Au début du XIXe siècle, il s’agissait d’une maison de roulage. Jean Baptiste Bacou la transforma en garage pour y entreposer les premiers camions-citernes de l’entreprise.
François Bacou devant un camion-citerne de l’entreprise .
Après son décès le 1er août 1824, ses fils (Georges et François) s’occupèrent d’apporter les transformations nécessaires à la survie de la société de transports, au moment où le cheval disparaissait au profit du moteur à explosion. Le Chapeau rouge continua à être utilisé pour garer les camions, avant qu’il ne soit vendu à Jacques Cau en salle de cinéma. Les camions-citernes transportaient le vin des caves coopératives ou de propriétaires vers les négociants en France et à l’étranger,de  jour comme de nuit, avec différents chauffeurs .

François Bacou devant un camion-citerne de l’entreprise Après son décès le 1er août 1824, ses fils (Georges et François) s’occupèrent d’apporter les transformations nécessaires à la survie de la société de transports, au moment où le cheval disparaissait au profit du moteur à explosion. Le Chapeau rouge continua à être utilisé pour garer les camions, avant qu’il ne soit vendu à Jacques Cau en salle de cinéma. Les camions-citernestransportaient le vin des caves coopératives ou de propriétaires vers les négociants en France et à l’étranger. De jour comme de nuit, avec plusieurs chauffeurs différents.

Jean Bacou – issu de la 4e génération – marié avec Pilar Lucena fera entrer la société dans la modernité.

Camion Berliet à bandage.  Pierre, l’un de leurs fils, suivra la trace de cette lignée de transporteurs après avoir effectué des études en école de commerce. Georges, l’aîné, préfèrera  l’organisation de spectacles sous la houlette de son mentor Jean Alary, puis de Paul Barrière. Aujourd’hui, il dirige le Théâtre municipal de Carcassonne.

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